


Gérando
Localisation
Paris
Programme
Rénovation d'un appartement
Maitrise d’œuvre de conception
ORO architecture paysage en co-direction avec Gautier Buresi
Maitrise d’œuvre d’exécution
ORO architecture paysage en co-direction avec Gautier Buresi
Surface
56 m2
Coûts travaux
80.000 euros
Statut
Livré en 2024
Crédit image
BCDF Studio
La notion d’intimité est au cœur de l’habitat. Elle en est le socle, l’essence profonde, ce qui distingue la maison comme refuge, comme abri, comme monde intérieur. Habiter, c’est avant tout se sentir protégé, retiré, entouré, et c’est précisément cette intensité de l’intérieur que ce projet cherche à magnifier.
L’appartement, dans son état initial, se présentait comme une succession de couloirs, d’espaces juxtaposés sans véritable dialogue. Le mouvement s’y réduisait à une simple traversée, les pièces se succédaient sans respiration, sans relation vivante. Il manquait à cet ensemble une structure capable de révéler un ordre, une cohérence, mais aussi une dimension plus intime et plus sensible.
Le projet a donc pris la forme d’une capsule, élément central qui vient redéfinir le lieu. Cette capsule n’est pas seulement un volume ajouté, elle est une matrice spatiale : elle donne une nouvelle logique aux déplacements, elle crée des seuils, des transitions, elle ordonne le quotidien. L’appartement ne se lit plus comme une série de pièces fermées par des couloirs, mais comme une continuité fluide, rythmée par cette présence centrale.
La capsule agit comme un noyau autour duquel on peut tourner, circuler, explorer. Elle invite à une promenade intérieure, où chaque pas redécouvre une perspective différente. Les espaces ne sont plus cloisonnés mais reliés, unifiés par une circulation libre. On passe d’une pièce à l’autre sans rupture, par glissements successifs, comme si l’habitat respirait enfin à pleins poumons.
Mais la capsule n’est pas seulement un pivot fonctionnel ; elle est aussi un filtre, un révélateur d’intimité. Par ses vitrages linéaires, elle établit des relations subtiles entre les espaces jour et nuit. Elle ne sépare pas brutalement, elle met en tension : on devine sans tout voir, on perçoit sans envahir, on partage sans perdre la distance nécessaire. C’est dans cette nuance que réside l’intimité véritable — non pas l’isolement, mais la capacité à créer des relations feutrées, des proximités silencieuses.
Ainsi, le projet s’organise autour de cette double dimension : d’un côté, une circulation libérée qui fait naître une fluidité nouvelle ; de l’autre, une réinterprétation de l’intimité comme relation subtile, à la fois ouverte et protégée.
L’appartement se transforme alors en un paysage intérieur. Les murs ne sont plus des barrières mais des supports de transitions. La lumière traverse, glisse, révèle. Les espaces se parlent, se répondent, s’ouvrent l’un à l’autre sans jamais se livrer entièrement. Le jour et la nuit s’articulent, se regardent, mais chacun conserve sa profondeur propre.
Ce projet raconte finalement la promesse d’un habitat réinventé : un lieu où l’on circule librement, où l’intime se protège sans s’enfermer, où la maison devient expérience sensible. Une architecture intérieure qui n’impose pas seulement des fonctions, mais qui propose une véritable expérience de l’habiter.
Gérando
Localisation
Paris
Programme
Rénovation d'un appartement
Maitrise d’œuvre de conception
ORO architecture paysage en co-direction avec Gautier Buresi
Maitrise d’œuvre d’exécution
ORO architecture paysage en co-direction avec Gautier Buresi
Surface
56 m2
Coûts travaux
80.000 euros
Statut
Livré en 2024
Crédit image
BCDF Studio
La notion d’intimité est au cœur de l’habitat. Elle en est le socle, l’essence profonde, ce qui distingue la maison comme refuge, comme abri, comme monde intérieur. Habiter, c’est avant tout se sentir protégé, retiré, entouré, et c’est précisément cette intensité de l’intérieur que ce projet cherche à magnifier.
L’appartement, dans son état initial, se présentait comme une succession de couloirs, d’espaces juxtaposés sans véritable dialogue. Le mouvement s’y réduisait à une simple traversée, les pièces se succédaient sans respiration, sans relation vivante. Il manquait à cet ensemble une structure capable de révéler un ordre, une cohérence, mais aussi une dimension plus intime et plus sensible.
Le projet a donc pris la forme d’une capsule, élément central qui vient redéfinir le lieu. Cette capsule n’est pas seulement un volume ajouté, elle est une matrice spatiale : elle donne une nouvelle logique aux déplacements, elle crée des seuils, des transitions, elle ordonne le quotidien. L’appartement ne se lit plus comme une série de pièces fermées par des couloirs, mais comme une continuité fluide, rythmée par cette présence centrale.
La capsule agit comme un noyau autour duquel on peut tourner, circuler, explorer. Elle invite à une promenade intérieure, où chaque pas redécouvre une perspective différente. Les espaces ne sont plus cloisonnés mais reliés, unifiés par une circulation libre. On passe d’une pièce à l’autre sans rupture, par glissements successifs, comme si l’habitat respirait enfin à pleins poumons.
Mais la capsule n’est pas seulement un pivot fonctionnel ; elle est aussi un filtre, un révélateur d’intimité. Par ses vitrages linéaires, elle établit des relations subtiles entre les espaces jour et nuit. Elle ne sépare pas brutalement, elle met en tension : on devine sans tout voir, on perçoit sans envahir, on partage sans perdre la distance nécessaire. C’est dans cette nuance que réside l’intimité véritable — non pas l’isolement, mais la capacité à créer des relations feutrées, des proximités silencieuses.
Ainsi, le projet s’organise autour de cette double dimension : d’un côté, une circulation libérée qui fait naître une fluidité nouvelle ; de l’autre, une réinterprétation de l’intimité comme relation subtile, à la fois ouverte et protégée.
L’appartement se transforme alors en un paysage intérieur. Les murs ne sont plus des barrières mais des supports de transitions. La lumière traverse, glisse, révèle. Les espaces se parlent, se répondent, s’ouvrent l’un à l’autre sans jamais se livrer entièrement. Le jour et la nuit s’articulent, se regardent, mais chacun conserve sa profondeur propre.
Ce projet raconte finalement la promesse d’un habitat réinventé : un lieu où l’on circule librement, où l’intime se protège sans s’enfermer, où la maison devient expérience sensible. Une architecture intérieure qui n’impose pas seulement des fonctions, mais qui propose une véritable expérience de l’habiter.
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Paris
Programme
Rénovation d'un appartement
Maitrise d’œuvre de conception
ORO architecture paysage en co-direction avec Gautier Buresi
Maitrise d’œuvre d’exécution
ORO architecture paysage en co-direction avec Gautier Buresi
Surface
56 m2
Coûts travaux
80.000 euros
Statut
Livré en 2024
Crédit image
BCDF Studio
La notion d’intimité est au cœur de l’habitat. Elle en est le socle, l’essence profonde, ce qui distingue la maison comme refuge, comme abri, comme monde intérieur. Habiter, c’est avant tout se sentir protégé, retiré, entouré, et c’est précisément cette intensité de l’intérieur que ce projet cherche à magnifier.
L’appartement, dans son état initial, se présentait comme une succession de couloirs, d’espaces juxtaposés sans véritable dialogue. Le mouvement s’y réduisait à une simple traversée, les pièces se succédaient sans respiration, sans relation vivante. Il manquait à cet ensemble une structure capable de révéler un ordre, une cohérence, mais aussi une dimension plus intime et plus sensible.
Le projet a donc pris la forme d’une capsule, élément central qui vient redéfinir le lieu. Cette capsule n’est pas seulement un volume ajouté, elle est une matrice spatiale : elle donne une nouvelle logique aux déplacements, elle crée des seuils, des transitions, elle ordonne le quotidien. L’appartement ne se lit plus comme une série de pièces fermées par des couloirs, mais comme une continuité fluide, rythmée par cette présence centrale.
La capsule agit comme un noyau autour duquel on peut tourner, circuler, explorer. Elle invite à une promenade intérieure, où chaque pas redécouvre une perspective différente. Les espaces ne sont plus cloisonnés mais reliés, unifiés par une circulation libre. On passe d’une pièce à l’autre sans rupture, par glissements successifs, comme si l’habitat respirait enfin à pleins poumons.
Mais la capsule n’est pas seulement un pivot fonctionnel ; elle est aussi un filtre, un révélateur d’intimité. Par ses vitrages linéaires, elle établit des relations subtiles entre les espaces jour et nuit. Elle ne sépare pas brutalement, elle met en tension : on devine sans tout voir, on perçoit sans envahir, on partage sans perdre la distance nécessaire. C’est dans cette nuance que réside l’intimité véritable — non pas l’isolement, mais la capacité à créer des relations feutrées, des proximités silencieuses.
Ainsi, le projet s’organise autour de cette double dimension : d’un côté, une circulation libérée qui fait naître une fluidité nouvelle ; de l’autre, une réinterprétation de l’intimité comme relation subtile, à la fois ouverte et protégée.
L’appartement se transforme alors en un paysage intérieur. Les murs ne sont plus des barrières mais des supports de transitions. La lumière traverse, glisse, révèle. Les espaces se parlent, se répondent, s’ouvrent l’un à l’autre sans jamais se livrer entièrement. Le jour et la nuit s’articulent, se regardent, mais chacun conserve sa profondeur propre.
Ce projet raconte finalement la promesse d’un habitat réinventé : un lieu où l’on circule librement, où l’intime se protège sans s’enfermer, où la maison devient expérience sensible. Une architecture intérieure qui n’impose pas seulement des fonctions, mais qui propose une véritable expérience de l’habiter.
La notion d’intimité est au cœur de l’habitat. Elle en est le socle, l’essence profonde, ce qui distingue la maison comme refuge, comme abri, comme monde intérieur. Habiter, c’est avant tout se sentir protégé, retiré, entouré, et c’est précisément cette intensité de l’intérieur que ce projet cherche à magnifier.
L’appartement, dans son état initial, se présentait comme une succession de couloirs, d’espaces juxtaposés sans véritable dialogue. Le mouvement s’y réduisait à une simple traversée, les pièces se succédaient sans respiration, sans relation vivante. Il manquait à cet ensemble une structure capable de révéler un ordre, une cohérence, mais aussi une dimension plus intime et plus sensible.
Le projet a donc pris la forme d’une capsule, élément central qui vient redéfinir le lieu. Cette capsule n’est pas seulement un volume ajouté, elle est une matrice spatiale : elle donne une nouvelle logique aux déplacements, elle crée des seuils, des transitions, elle ordonne le quotidien. L’appartement ne se lit plus comme une série de pièces fermées par des couloirs, mais comme une continuité fluide, rythmée par cette présence centrale.
La capsule agit comme un noyau autour duquel on peut tourner, circuler, explorer. Elle invite à une promenade intérieure, où chaque pas redécouvre une perspective différente. Les espaces ne sont plus cloisonnés mais reliés, unifiés par une circulation libre. On passe d’une pièce à l’autre sans rupture, par glissements successifs, comme si l’habitat respirait enfin à pleins poumons.
Mais la capsule n’est pas seulement un pivot fonctionnel ; elle est aussi un filtre, un révélateur d’intimité. Par ses vitrages linéaires, elle établit des relations subtiles entre les espaces jour et nuit. Elle ne sépare pas brutalement, elle met en tension : on devine sans tout voir, on perçoit sans envahir, on partage sans perdre la distance nécessaire. C’est dans cette nuance que réside l’intimité véritable — non pas l’isolement, mais la capacité à créer des relations feutrées, des proximités silencieuses.
Ainsi, le projet s’organise autour de cette double dimension : d’un côté, une circulation libérée qui fait naître une fluidité nouvelle ; de l’autre, une réinterprétation de l’intimité comme relation subtile, à la fois ouverte et protégée.
L’appartement se transforme alors en un paysage intérieur. Les murs ne sont plus des barrières mais des supports de transitions. La lumière traverse, glisse, révèle. Les espaces se parlent, se répondent, s’ouvrent l’un à l’autre sans jamais se livrer entièrement. Le jour et la nuit s’articulent, se regardent, mais chacun conserve sa profondeur propre.
Ce projet raconte finalement la promesse d’un habitat réinventé : un lieu où l’on circule librement, où l’intime se protège sans s’enfermer, où la maison devient expérience sensible. Une architecture intérieure qui n’impose pas seulement des fonctions, mais qui propose une véritable expérience de l’habiter.



































