


Jardin Scia
Localisation
Zonza, Corse
Programme
Construction d’un pool house et aménagement paysagé
Maitrise d’œuvre de conception
ORO architecture paysage en co-direction avec Gautier Buresi
Maitrise d’œuvre d’exécution
ORO architecture paysage en co-direction avec Gautier Buresi
Surface
NC
Coûts travaux
NC
Statut
Livré en 2023
Pour pallier l’effet de profondeur et l’étroitesse de la parcelle, le projet du jardin ne se contente pas d’accompagner l’existant : il le transforme. De grands massifs viennent rythmer l’espace, découpant la longueur en une succession de plans, comme autant de tableaux végétaux qui invitent à la découverte. Ces compositions, en créant des séquences visuelles, étirent le jardin dans son horizontalité et gomment l’impression de couloir.
La plantation se pense comme une écriture sensible, ancrée dans son territoire. Les essences choisies sont celles des paysages méditerranéens : oliviers, cistes, lavandes, myrtes ou lentisques, autant d’espèces endémiques qui, au fil des saisons, offrent des floraisons successives et des textures variées. Les feuillages persistants, toujours présents, assurent une continuité visuelle et une densité protectrice, tout en affirmant l’identité méditerranéenne du lieu.
Ainsi, le jardin ne se vit plus comme un simple passage allongé, mais comme une promenade : une respiration ponctuée d’ambiances, un équilibre entre ombres et lumières, densités et clairières. Chaque massif agit comme une strate architecturale, organisant l’espace autant qu’il le révèle.
Ce projet cherche moins à domestiquer la nature qu’à dialoguer avec elle, en révélant la poésie de ces plantes adaptées au vent, à la sécheresse, au soleil brûlant. Le jardin devient alors un paysage à habiter, un fragment de Méditerranée sculpté dans l’intimité de la parcelle.
Jardin Scia
Localisation
Zonza, Corse
Programme
Construction d’un pool house et aménagement paysagé
Maitrise d’œuvre de conception
ORO architecture paysage en co-direction avec Gautier Buresi
Maitrise d’œuvre d’exécution
ORO architecture paysage en co-direction avec Gautier Buresi
Surface
NC
Coûts travaux
NC
Statut
Livré en 2023
Pour pallier l’effet de profondeur et l’étroitesse de la parcelle, le projet du jardin ne se contente pas d’accompagner l’existant : il le transforme. De grands massifs viennent rythmer l’espace, découpant la longueur en une succession de plans, comme autant de tableaux végétaux qui invitent à la découverte. Ces compositions, en créant des séquences visuelles, étirent le jardin dans son horizontalité et gomment l’impression de couloir.
La plantation se pense comme une écriture sensible, ancrée dans son territoire. Les essences choisies sont celles des paysages méditerranéens : oliviers, cistes, lavandes, myrtes ou lentisques, autant d’espèces endémiques qui, au fil des saisons, offrent des floraisons successives et des textures variées. Les feuillages persistants, toujours présents, assurent une continuité visuelle et une densité protectrice, tout en affirmant l’identité méditerranéenne du lieu.
Ainsi, le jardin ne se vit plus comme un simple passage allongé, mais comme une promenade : une respiration ponctuée d’ambiances, un équilibre entre ombres et lumières, densités et clairières. Chaque massif agit comme une strate architecturale, organisant l’espace autant qu’il le révèle.
Ce projet cherche moins à domestiquer la nature qu’à dialoguer avec elle, en révélant la poésie de ces plantes adaptées au vent, à la sécheresse, au soleil brûlant. Le jardin devient alors un paysage à habiter, un fragment de Méditerranée sculpté dans l’intimité de la parcelle.
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Maitrise d’œuvre de conception
ORO architecture paysage en co-direction avec Gautier Buresi
Maitrise d’œuvre d’exécution
ORO architecture paysage en co-direction avec Gautier Buresi
Surface
NC
Coûts travaux
NC
Statut
Livré en 2023
Crédit image
Pour pallier l’effet de profondeur et l’étroitesse de la parcelle, le projet du jardin ne se contente pas d’accompagner l’existant : il le transforme. De grands massifs viennent rythmer l’espace, découpant la longueur en une succession de plans, comme autant de tableaux végétaux qui invitent à la découverte. Ces compositions, en créant des séquences visuelles, étirent le jardin dans son horizontalité et gomment l’impression de couloir.
La plantation se pense comme une écriture sensible, ancrée dans son territoire. Les essences choisies sont celles des paysages méditerranéens : oliviers, cistes, lavandes, myrtes ou lentisques, autant d’espèces endémiques qui, au fil des saisons, offrent des floraisons successives et des textures variées. Les feuillages persistants, toujours présents, assurent une continuité visuelle et une densité protectrice, tout en affirmant l’identité méditerranéenne du lieu.
Ainsi, le jardin ne se vit plus comme un simple passage allongé, mais comme une promenade : une respiration ponctuée d’ambiances, un équilibre entre ombres et lumières, densités et clairières. Chaque massif agit comme une strate architecturale, organisant l’espace autant qu’il le révèle.
Ce projet cherche moins à domestiquer la nature qu’à dialoguer avec elle, en révélant la poésie de ces plantes adaptées au vent, à la sécheresse, au soleil brûlant. Le jardin devient alors un paysage à habiter, un fragment de Méditerranée sculpté dans l’intimité de la parcelle.
Pour pallier l’effet de profondeur et l’étroitesse de la parcelle, le projet du jardin ne se contente pas d’accompagner l’existant : il le transforme. De grands massifs viennent rythmer l’espace, découpant la longueur en une succession de plans, comme autant de tableaux végétaux qui invitent à la découverte. Ces compositions, en créant des séquences visuelles, étirent le jardin dans son horizontalité et gomment l’impression de couloir.
La plantation se pense comme une écriture sensible, ancrée dans son territoire. Les essences choisies sont celles des paysages méditerranéens : oliviers, cistes, lavandes, myrtes ou lentisques, autant d’espèces endémiques qui, au fil des saisons, offrent des floraisons successives et des textures variées. Les feuillages persistants, toujours présents, assurent une continuité visuelle et une densité protectrice, tout en affirmant l’identité méditerranéenne du lieu.
Ainsi, le jardin ne se vit plus comme un simple passage allongé, mais comme une promenade : une respiration ponctuée d’ambiances, un équilibre entre ombres et lumières, densités et clairières. Chaque massif agit comme une strate architecturale, organisant l’espace autant qu’il le révèle.
Ce projet cherche moins à domestiquer la nature qu’à dialoguer avec elle, en révélant la poésie de ces plantes adaptées au vent, à la sécheresse, au soleil brûlant. Le jardin devient alors un paysage à habiter, un fragment de Méditerranée sculpté dans l’intimité de la parcelle.























