Petit

Localisation

Paris

Programme

Rénovation d’un appartement

Maitrise d’œuvre de conception

ORO architecture paysage en co-direction avec Gautier Buresi 

Maitrise d’œuvre d’exécution

ORO architecture paysage en co-direction avec Gautier Buresi 

Surface

56m2

Coûts travaux

NC

Statut

Livré en 2025

Crédit image

BCDF studio

Dans cet appartement de 56 m², le défi n’était pas d’ajouter, mais d’effacer : effacer les couloirs, ces espaces dérobés à la vie, qui fractionnaient et réduisaient la fluidité du lieu.


Plutôt que de subir la contrainte, nous l’avons inversée. Les couloirs ont disparu, et ce sont désormais les pièces elles-mêmes qui orchestrent la circulation. La cuisine, cœur battant de chaque foyer, s’est installée au centre, comme une place intérieure. Elle devient carrefour, lieu de passage et de rencontre, reliant le salon à l’intimité des chambres.


Ces chambres, justement, ont trouvé une nouvelle place dans l’appartement. Elles s’enveloppent dans une boîte de bois, matière chaleureuse, protectrice, qui diffuse une atmosphère de cocon. L’autre boîte, celle de la salle d’eau, s’habille de carrelage : une peau minérale et fraîche, fidèle à l’univers de l’eau.


Entre elles, des percées de lumière : des vitrages discrets qui laissent filer les rayons et abolissent la séparation stricte des volumes. Ainsi, chaque espace respire, se prolonge dans l’autre, tout en gardant son identité.


De l’ancien enchevêtrement de couloirs est née une nouvelle logique : une fluidité habitée, où chaque pas traverse non plus un vide, mais une pièce vivante.


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Surface

56m2

Coûts travaux

NC

Statut

Livré en 2025

Crédit image

BCDF studio

Dans cet appartement de 56 m², le défi n’était pas d’ajouter, mais d’effacer : effacer les couloirs, ces espaces dérobés à la vie, qui fractionnaient et réduisaient la fluidité du lieu.


Plutôt que de subir la contrainte, nous l’avons inversée. Les couloirs ont disparu, et ce sont désormais les pièces elles-mêmes qui orchestrent la circulation. La cuisine, cœur battant de chaque foyer, s’est installée au centre, comme une place intérieure. Elle devient carrefour, lieu de passage et de rencontre, reliant le salon à l’intimité des chambres.


Ces chambres, justement, ont trouvé une nouvelle place dans l’appartement. Elles s’enveloppent dans une boîte de bois, matière chaleureuse, protectrice, qui diffuse une atmosphère de cocon. L’autre boîte, celle de la salle d’eau, s’habille de carrelage : une peau minérale et fraîche, fidèle à l’univers de l’eau.


Entre elles, des percées de lumière : des vitrages discrets qui laissent filer les rayons et abolissent la séparation stricte des volumes. Ainsi, chaque espace respire, se prolonge dans l’autre, tout en gardant son identité.


De l’ancien enchevêtrement de couloirs est née une nouvelle logique : une fluidité habitée, où chaque pas traverse non plus un vide, mais une pièce vivante.


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56m2

Coûts travaux

NC

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Dans cet appartement de 56 m², le défi n’était pas d’ajouter, mais d’effacer : effacer les couloirs, ces espaces dérobés à la vie, qui fractionnaient et réduisaient la fluidité du lieu.


Plutôt que de subir la contrainte, nous l’avons inversée. Les couloirs ont disparu, et ce sont désormais les pièces elles-mêmes qui orchestrent la circulation. La cuisine, cœur battant de chaque foyer, s’est installée au centre, comme une place intérieure. Elle devient carrefour, lieu de passage et de rencontre, reliant le salon à l’intimité des chambres.


Ces chambres, justement, ont trouvé une nouvelle place dans l’appartement. Elles s’enveloppent dans une boîte de bois, matière chaleureuse, protectrice, qui diffuse une atmosphère de cocon. L’autre boîte, celle de la salle d’eau, s’habille de carrelage : une peau minérale et fraîche, fidèle à l’univers de l’eau.


Entre elles, des percées de lumière : des vitrages discrets qui laissent filer les rayons et abolissent la séparation stricte des volumes. Ainsi, chaque espace respire, se prolonge dans l’autre, tout en gardant son identité.


De l’ancien enchevêtrement de couloirs est née une nouvelle logique : une fluidité habitée, où chaque pas traverse non plus un vide, mais une pièce vivante.


Dans cet appartement de 56 m², le défi n’était pas d’ajouter, mais d’effacer : effacer les couloirs, ces espaces dérobés à la vie, qui fractionnaient et réduisaient la fluidité du lieu.


Plutôt que de subir la contrainte, nous l’avons inversée. Les couloirs ont disparu, et ce sont désormais les pièces elles-mêmes qui orchestrent la circulation. La cuisine, cœur battant de chaque foyer, s’est installée au centre, comme une place intérieure. Elle devient carrefour, lieu de passage et de rencontre, reliant le salon à l’intimité des chambres.


Ces chambres, justement, ont trouvé une nouvelle place dans l’appartement. Elles s’enveloppent dans une boîte de bois, matière chaleureuse, protectrice, qui diffuse une atmosphère de cocon. L’autre boîte, celle de la salle d’eau, s’habille de carrelage : une peau minérale et fraîche, fidèle à l’univers de l’eau.


Entre elles, des percées de lumière : des vitrages discrets qui laissent filer les rayons et abolissent la séparation stricte des volumes. Ainsi, chaque espace respire, se prolonge dans l’autre, tout en gardant son identité.


De l’ancien enchevêtrement de couloirs est née une nouvelle logique : une fluidité habitée, où chaque pas traverse non plus un vide, mais une pièce vivante.